vendredi 14 mai 2010

Je n'ai pas d'expérience

Je n'ai pas d'expérience, mais un peu quand même. Je vais depuis longtemps à des réunions, quelque soit le sujet, et je constate que les gens ne sont (parfois) pas organisés. La gestion de projet est une problématique en plein coeur de... tout (métiers, loisirs), et c'est difficile de la maîtriser quand on manque de temps.

1) Un projet bien préparé

Pour bien gérer un projet, il est essentiel de bien le préparer. Préparer une réunion, préparer un plan, préparer des objectifs, un cahier des charges, etc... C'est typiquement là que l'on manque de temps. Mais c'est essentiel pour que, par la suite, tout le monde se comprenne et soit d'accord.

2) La communication entre les intervenants

Chacun a sa façon de fonctionner et son vécu. Il me semble évident que le mot "pomme" commence par un "p". Ce n'est pas le cas de tout le monde, même si j'avoue, cet exemple est nul. En gros, il faut tout dire, tout demander, tout poser à plat. A chaque nouveau projet, on recommence du début.

Ce qu'on ne sait pas, on ne peut pas le deviner, et pour que chacun des membres du projet soit sur la même longueur d'onde : il faut communiquer.

Vous allez me dire que c'est facile de communiquer. Oui...
  • Sauf quand on pense que ça ne vaut pas la peine de préciser telle chose évidente,
  • Sauf quand on craint de déranger le collègue pour un "détail" (qui s'avèrera déterminant),
  • Sauf quand on est pris par d'autres projets et que l'échéance approche (plus le temps de vraiment poser les choses),
  • Sauf quand on n'a pas tous les contacts ou qu'on ne sait pas qui s'occupe de quoi (là c'est grave, quand même)...
Préparation efficace, communication claire... tout un programme !

Bien gérer un projet, c'est impossible. Il faut penser à tout. Or, qui n'oublie rien ? Qui pense toujours à tout dans toutes les circonstances ? On ne pensera jamais à tout, et il y aura toujours des ajustements à faire :
  • Finalement, cette page doit être divisée en 2.
  • Au fait, as-tu prévu un encadré pour les photos ?
  • Oublie le menu déroulant, on en a plus besoin.
  • J'ai pas encore confirmé avec le client, n'écris pas ta page pour l'instant !
  • Pourquoi vous avez changé le titre ? J'avais dit que...
  • En fait l'objectif de son site, c'est quoi ? C'est pour quelle cible ? (lol)
Mais ces ajustement font partie du projet : impossible de poser définitivement les choses si on n'a pas tous les éléments. Gérer un projet, c'est le gérer au début, au milieu, et jusqu'à la fin. On a rarement tous les éléments utiles dès le début du projet.

La gestion de projet, c'est préparer, vérifier, confirmer sans cesse, pour avancer efficacement et faire du bon travail, dans les délais. Je n'ai pas trop d'expérience, mais... j'ai déjà compris ça.

lundi 3 mai 2010

Dans "rédaction web", il y a "référencement" : ça se voit pas ?

Aujourd’hui je vous présente un article collaboratif, rédigé avec Pierre Mourotte, auteur d’un chouette blog sur la communication web-marketing. Notre idée, c’est que dans « rédaction web », il y a « référencement ». C’est implicitement compris dedans, mais pour nous, c’est logique !

Merci à Marie-Eve de m’accueillir sur son blog ! Nous sommes partis du constat que, dans les réalisations, « rédaction web » et « objectifs SEO » étaient trop souvent dissociés. Or cela nous semble être une erreur…

Le rédacteur web a 2 objectifs

Ecrire pour le web, ce n’est pas écrire un simple texte qui se retrouvera sur un site Internet, un texte auquel tout le monde pourra accéder gratuitement après un clic (au lieu d’acheter un magazine). C’est largement plus que ça. On n’écrit pas une page web sans penser à son référencement, même si le référencement semble être un gros monstre inaccessible, au premier abord. Et même si le rédacteur web ne peut pas se targuer d’être un référenceur, un vrai de vrai.

Les titres de niveaux (h1, h2 etc), les mots en gras, les liens internes… toutes ces mises en relief facilitent la lecture de l’internaute, oui, mais boostent le référencement aussi ! Ce n’est pas que le rédacteur web a le popotin entre 2 chaises, c’est qu’il a 2 objectifs à atteindre.

Mais ces 2 objectifs se rejoignent : bien référencer un site par son contenu, c’est satisfaire les besoins de l’internaute. Celui-ci trouve le site, lit les contenus, et dans le meilleur des cas il a trouvé ce qu’il cherchait. En gros, le rédacteur web est centré sur l’internaute. Aider l’internaute à trouver ce qu’il cherche, c’est le côté référencement, et lui donner les réponses à ses requêtes, le côté rédaction web.

Un professionnel de la rédaction web ne peut qu’être d’accord avec ces propos. Pour les référenceurs, « penser référencement » lorsqu’on rédige un article se fait sans y penser. Pour les non-référenceurs ou lorsqu’on débute, c’est moins facile. Pour moi qui viens de la communication, ce n’était pas forcément évident. Dans ce cas, la rédaction doit être centrée sur le lecteur. Si le contenu est cohérent et structuré, l’optimisation coulera de source ! Pensez donc à bien informer le lecteur et Google en fera de même !

2 métiers à part entière, qui se complètent

Par contre « référencement » ne s’arrête pas à « rédaction web ». C’est un métier complet et à part entière. Nous ne voulons en aucun cas dire que le rédacteur web peut faire tout le travail d’un référenceur.

De même que la rédaction n’est pas non plus à la portée de tout le monde, notamment des référenceurs… Il est certain que l’un n’englobe pas l’autre et que ces métiers sont complémentaires.

Référenceur et rédacteur web peuvent travailler ensemble, et c’est d’ailleurs fortement conseillé ! Le référenceur apporte des compétences plus techniques qui n’ont pas forcément avoir avec la rédaction web. Mais il a un rôle déterminant et doit guider le rédacteur web, notamment sur le choix des mots-clés à utiliser dans les contenus.

Le métier de référenceur

Le référenceur est au départ un technicien. Quelqu’un qui connait le fonctionnement du web et les moteurs de recherche et qui applique ses connaissances. 2 orientations du métier sont alors possibles : vers le marketing (webmarketeur) ou vers la communication (community manager). Qu’un référenceur penche vers l’un ou l’autre n’a pas en soi d’importance… s’il travaille en équipe !

Et le rédacteur ?

Le rédacteur rédige ! Jusque-là, rien de très nouveau… Pourtant, c’est ce qui fait toute la différence ! Souvent de profil littéraire, il réalise des articles de référencement, des articles marketing, des communiqués de presse, des contenus de site… Il est donc évident qu’il doit être, un peu comme le référenceur, particulièrement polyvalent dans ses compétences : communication (1 ?), marketing (2 ?), journaliste (3 ?)…

2 métiers particulièrement polyvalents donc. Le référenceur se fait souvent rédacteur et le rédacteur est un référenceur en puissance.

Alors, toujours à différencier référencement et rédaction web ?

mardi 27 avril 2010

Bientôt, très bientôt !

Comme certains le savent, l'heure tant attendue approche. Une page de ma vie va se tourner ! Quoique... je vais simplement continuer d'écrire mon livre avec *l'homme de ma vie*, parce que cela fait déjà quelques temps qu'on l'écrit ensemble. Mais quand même ! Si c'est dans la continuité des choses, ça n'empêche pas que c'est une grande étape, et que c'était même le but ultime de ma vie. Et puis surtout, ce n'est pas pour rien que je suis heureuse ici-bas. Dans 32 jours, je me marie avec *l'homme de ma vie* !

Avec cet événement de taille, je deviens une vraie madame, et je change de nom (un nom très classe en plus, vous verrez). Bonne raison pour changer de blog, acheter un vrai nom de domaine et retravailler un peu ma ligne éditoriale.

Pour cela, vous allez m'aider, vous, lecteurs assidus du blog de marjev depuis quelques mois. J'aimerais organiser les nouveaux articles de mon nouveau blog dans des catégories bien définies. Certains sujets me tiennent à coeur, comme :
  • l'écriture sous toutes ses formes : rédaction web, littérature, livres (quand j'aurai fini mes études, j'aurai peut-être le temps de lire), etc...
  • les internautes : leur comportement sur le web, leurs attentes, les stratégies à adopter...
  • la communication : c'est un peu la rencontre des 2 sujets précédents...
Et puis... quoi d'autre ? De quoi aimez-vous que je parle ? Qu'est-ce qui vous intéresse, et qu'est-ce qui vous ferait continuer à lire mon blog ? Donnez-moi vos idées !

Vous avez encore le temps de débattre : avec les dépenses effectuées pour le mariage tant attendu, je n'ai même pas de quoi acheter mon nom de domaine... Et puis, confortablement installés dans notre appart, mon mari et moi n'aurons pas Internet immédiatement. Ce qui va ralentir le processus ! Mais j'espère que cet été, je pourrais débarquer avec un nouveau blog tout design, tout bien pensé et qui reboostera mon activité sur le web ! J'espère aussi que vous l'aimerez, mais pour cela... lâchez vos com' ! :)

lundi 26 avril 2010

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir !

Combien de liens comportent ce genre de texte. Ici, toutes les réponses à vos questions, tout sur tel sujet, le secret de machin, et ce dont vous rêvez depuis tant d'années. Ces liens si prometteurs sont simplement là pour donner envie de cliquer : l'internaute est curieux.

On vous a bien eu !

Avec le recul, c'est quand même très drôle. Vous avez cliqué, alors que vous ne savez même pas ce que vous vouliez savoir. Peu importe que vous vous posiez des questions ou pas : on vous donne toutes les réponses ! C'est du marketing, c'est tout.

Alors, vous savez tout ?

Finalement vous n'en savez pas plus après votre lecture (ou survol) de la page. Peut-être un peu plus, d'accord, mais surtout vous avez perdu votre temps.

J'entend souvent, venant de personnes pas très connectées, qu'Internet est une perte de temps. On a trop vite fait d'y passer des heures sans s'en rendre compte. Finalement, on est pas bêtes : on se rend bien compte qu'on clique là où on n'avait pas prévu de cliquer. On ne visite rarement un seul site : trop de liens nous incitent à aller voir ailleurs.

N'empêche que...

Ce n'est pas interdit d'être curieux. Laissez-vous prendre au jeu ! Et puis, créez un blog et racontez-nous vos plus belles découvertes du net.

Le marketing, le commerce, la publicité tout ça... ça passe quand même pas très bien des fois. Mais au fond, il faut bien que chacun gagne son pain. (Je ne parle pas des arnaques là, je parle juste des slogans accrocheurs.)

samedi 17 avril 2010

Faire les courses sur Internet

Faire ses achats sur Internet... j'ai 2 avis sur la question. Bien sur, il y a "acheter en ligne" et "faire ses courses". La plupart des internautes se limitent à acheter un produit de temps en temps sur Internet : ils ne font pas leur course en ligne toutes les semaines. C'est ce que je préconise.

1) Tellement pratique

Prendre la voiture, rouler à 20 km/h en ville, trouver une place dans le parking souterrain, marcher jusqu'à la Fnac, chercher les livres, demander à une vendeuse, se trimballer avec une pile de livres jusqu'à la caisse, faire face à la foule, essayer de retrouver sa voiture dans le parking, se retaper la route... Non merci ! :D

J'ai beaucoup apprécié commandé mes tonnes de livres en ligne (sur le site de la Fnac), avant mes rentrées en Fac de Lettres. Malgré quelques petits soucis de délai, de disponibilité de certains livres... cela m'aura évité de dépenser mon essence chérie !

Acheter en ligne apporte des avantages considérables :
  • économie (d'essence seulement, les livres ne sont pas gratuits !)
  • écologie (quoique, le livreur doit bien rouler, lui...)
  • gain de temps (ça par contre c'est indiscutable)
  • sérénité et tranquillité (pour ceux qui n'aiment pas le bruit des villes, le mouvement des foules, les parkings pleins à craquer, etc)
C'est quand même très pratique et confortable.

2) Manger bouger ?

Et maintenant c'est la fille pas-trop-gras-trop-salé-trop-sucré qui vous parle. J'ai toujours un certain sentiment de culpabilité quand tout me tombe du ciel, que je ne bouge pas de ma chaise et que je ne dépense pas mes petites calories du jour.

Faire les courses est un moyen idéal pour faire un peu d'exercice. Courir d'un rayon à l'autre, porter des lourdes briques de jus de d'orange, pousser le charriot qui se remplit, tendre le bras vers le dernier pot de Nutella, ramasser les sopalins qui se font la malle... Muscu, étirements, tout y passe. Et ceux qui ont des enfants à rattraper, porter, mettre dans le charriot, descendre du charriot... je n'en parle même pas !

Les calories d'accord, mais il n'y a pas que ça. Quel bonheur de traînailler dans un centre commercial et de croiser, oh !, le prof d'histoire ! (Les ados détestent ça, je sais... enfin moi j'ai toujours adoré.) Quelle jolie surprise de discuter avec la dame qui attend juste derrière nous à la caisse. La sociabilité quoi.

Mon petit rêve secret, c'est d'être caissière le temps d'une journée, juste pour voir ce que les gens achètent. Le rapport entre leur tête, leur allure, leur âge, leur style, leur situation financière (supposée) et ce qu'il mette dans leur charriot. Passionnant.

Aller faire les courses en vrai, donc, pour dépenser un peu d'énergie et observer la société.

3) Histoire de confiance, et autre

Pour beaucoup encore, acheter sur Internet est un peu risqué... Donner son n° de carte bancaire ?! Et si le colis n'arrive jamais ? Les gens naïfs comme moi ne se posent pas la question : c'est sécurisé, j'achète.

Après, tout est question de produit. Les livres, ça va. Pour les vêtements, c'est déjà un peu plus compliqué quand il faut renvoyer le tout pour échanger. La nourriture ? Ma mère commande certains produits surgelés à Maximo. C'est pas mal. Mais il y a toujours des produits qu'on aime voir en vrai : les gros meubles et électroménager notamment. Enfin, je crois.

C'est une histoire d'ambiance aussi... même si ça ne craint pas de commander un livre sur Internet, certains adorent l'odeur des librairies, regarder la couverture des livres, s'assoir dans un coin pour lire une BD...

4) Conclusion

Si vous avez besoin de quelque chose, mais que vous sentez que le déplacement va vous compliquer la vie... quelques clics et c'est dans votre boîte aux lettres ! On peut limiter le stress quand même.

Si vous êtes dans la même situation mais que cela fait 48h que vos yeux luttent devant l'écran de votre ordinateur... sortez de chez vous !

Sinon, c'est bien connu, les femmes font tout d'une pierre deux coups : le rendez-vous à la banque, acheter les céréales pour le petit déj, chercher Jules à la boxe, et acheter un cadeau pour son chéri (anniversaire, St Valentin, les 5 ans...).

Mais si, en rentrant chez elle, la femme active (celle de notre exemple) a oublié d'acheter le DVD de ses rêves... elle le commande sur Internet. :)

mercredi 14 avril 2010

Tout est sur Facebook

Je parle de Facebook parce que c'est le réseau le plus fréquenté, dans mon entourage, mondialement, etc. En marchant simplement dans la rue, on entend des "Facebook" à tout bout de champ. Impressionnant. Mais... le constat que je vais faire pourrait éventuellement s'appliquer à un autre réseau.

Quand on publie des choses sur Facebook, on a l'impression que tout le monde sera au courant dans la seconde. C'est évident : les sujets de conversation sont focalisés sur Facebook. Quand on ne sait pas quoi dire, on dit "au fait, j'ai vu sur Facebook que..."

Mais une fois, je me suis rendu compte que madame C n'était pas allée sur Facebook, et j'ai dû lui annoncer la nouvelle en direct. Waouh. Ca fait un choc : parler pour de vrai !?

J'ai réalisé, perplexe, que si tout le monde était sur Facebook, tout le monde ne se connectait pas tous les jours. C'est pourtant pratique de diffuser une information à 170 amis simultanément. Pas très personnalisé, mais comme ça tout le monde le sait. En fait non ! Personne n'est le centre du monde sur Facebook.

Mais ça va, j'ai apprécié parler en vrai, communiquer avec la voix, aligner des mots, voir le regard de madame C, écouter sa réponse avec mes oreilles.

Allez petits geeks, je vous laisser méditer sur la question.




Et vous, comment vous cherchez sur les moteurs ?

Il y a les études eye-tracking, et il y a mes petites enquêtes. Autour de moi, qu'est-ce que j'ai vu ? Comment les gens font-ils leurs recherches sur Internet ? Il y a ceux qui scrutent chaque résultats les uns après les autres, et ceux qui ne voient que le premier. Les impulsifs ou les réfléchis quoi.

Que disent les études d'eye-tracking ?

Les internautes sont focalisés sur le triangle d'or, à savoir les 3 premiers résultats de la page.

Néanmoins, avec la recherche personnalisée, cette tendance devient relative... L'oeil est attiré par les visuels.

Tout ça, c'est très vite dit. Mais d'autres articles parlent de l'eye tracking et vous expliqueront où va le regard de l'internaute.

Ce que je constate

Bon, j'ai l'esprit de contradiction, un peu, mais pas au point de vouloir démontrer le contraire des études eye-tracking. J'aime bien toutefois vérifier les choses par moi-même, et interroger mon entourage.

J'ai questionné mes soeurs, mes copines... et toutes les façons de rechercher sont différentes :
  • la persévérance : parcourir plusieurs pages pour trouver ce que l'on veut, sans avoir le réflexe de changer la formulation de sa requête.
  • la confiance : visiter, dans l'ordre, le premier résultat, puis le deuxième, puis le troisième. Sans lire ni regarder les titres... au pif total. Ou plutôt, en accordant une pleine confiance à Google car, je cite, "s'il met ce résultat en premier, c'est que c'est le meilleur".
Ce qui est sûr c'est que chaque personne a son habitude, et il est difficile d'en changer.

Enquête sur twitter

J'ai posé la question sur twitter. Là, c'est clair : on ne va pas plus loin que la première page.

@bmandras : en général je reste sur ce qu'il y a au dessus de la ligne de flottaison en page 1 sauf si je trouve pas mon bonheur...
@cwmconsulting : a priori que le top 3 sauf si je ne trouve pas...
@Raspailloux : euh... je suis une grosse feignasse donc je dépasse pas la première page

Il y a peut-être aussi une différence entre les habitués du web, et les autres.

Moi perso, je regarde toute la première page. En entier. Je sélectionne les titres et description qui semblent correspondre à ce que je cherche. Je perd moins de temps que ceux qui cliquent au hasard, car je sais où je vais aller.

Chacun sa méthode

Tout le monde cherche différemment, ou à peu près. On ne peut rien y faire. On s'adapte donc à la majorité, et aux études, qui semblent proches de la réalité. Mais entre les internautes qui ne formulent pas correctement leur requête, les éditeurs de sites qui ne réfléchissent pas correctement aux mots-clés et toutes les actions de référencement qui sont, ou qui ne sont pas, faites... il y a de quoi s'arracher les cheveux devant les pages de résultats.

Et vous, comment vous cherchez sur les moteurs ?